La surdouance représente un individu, homme ou femme ayant un fonctionnement cérébral différent des autres. Ceci représente 2% de la population française.
D’autres termes peuvent être employer pour identifier ces personnes ou cette façon de penser atypique :
– haut potentiel intellectuel (HPI),
– haut quotient intellectuel (HQI),
– enfant intellectuellement précoce (EIP),
– surdoué,
– douance,
– surdouement.
Un individu, enfant ou adulte présentant ses caractéristiques cérébrales, soit une pensée en arborescence (comme les branches d’un arbre) n’est pas plus intelligent qu’un autre, mais a une intelligence différente. D’une idée qui germe dans son esprit, une seconde en découlera et ainsi de suite ; un vrai feu d’artifice. Ce n’est pas la quantité de neurones qui est importante mais le nombre de connexion.
Le haut potentiel utilise majoritairement le lobe droit de son cerveau qui gère la créativité, l’intuition, l’émotion etc. Contrairement au lobe gauche qui est plus mathématique.
Pourquoi la surdouance serait-il un handicap ?
Lorsque l’on parle de surdoué, on pense automatiquement à un génie, ce qui est faux car un génie n’est pas obligatoirement un surdoué et inversement.
Un surdoué réussit dans les études ce qui n’est pas toujours le cas.
Et d’autres de fausses idées reçues.
Il y a une partie des surdoués qui réussissent leurs études facilement, contrairement a d’autre qui n’y arriveront pas ou à moitié car ils n’ont jamais été identifiés en tant que « haut potentiel » et n’ont pas appris a vivre avec cette différence.
L’éducation française est adapté à la majorité des personnes utilisant la pensée séquentielle ce qui ne concerne pas les surdoués.
Derrière cette différence, chez les adultes HP non diagnostiqués, il y aura des problèmes émotionnels, social, de l’isolement, de l’hyperémotivité, ce qui entrainera malheureusement à la dépression et parfois au suicide.
Une qualité qui devient souffrance.